L'interaction homme-machine (IHM) est l'étude de la manière dont les humains interagissent avec les ordinateurs, un domaine qui a évolué parallèlement au développement de la technologie moderne. Le terme a été inventé par Robert B. Miller en 1966, qui l'a défini comme "l'étude des aspects du comportement humain liés aux systèmes informatiques".
La différence entre l'ICH et l'interaction homme-homme (IHH) est que, si les deux impliquent des personnes qui interagissent avec d'autres personnes, l'IHH permet une communication réciproque - les deux parties peuvent se parler. Mais ce n'est pas toujours possible lorsqu'on a affaire à des ordinateurs ; ils ne sont pas capables de comprendre réellement ce que nous voulons dire lorsque nous disons quelque chose comme "tapez votre mot de passe dans cette case". Au lieu de cela, ils doivent être programmés pour reconnaître des commandes et des phrases spécifiques en fonction de leur structure et de leur contexte (par exemple, si vous tapez "mot de passe" suivi de trois astérisques, puis appuyez sur la touche Entrée). Cela les rend moins flexibles que les humains, mais aussi plus faciles à programmer !
L'objectif de l'IHM est donc double : d'une part, trouver la meilleure façon pour nous, les humains, d'utiliser ces nouveaux dispositifs qui deviennent de plus en plus complexes ; d'autre part, concevoir des moyens pour que ces machines puissent mieux comprendre nos besoins en tant qu'utilisateurs afin de ne pas dresser de barrières entre nous et d'autres personnes autour de nous qui pourraient avoir besoin d'aide pour accéder à l'information par des moyens numériques mais qui ne savent pas comment faire parce qu'il n'y a pas encore beaucoup de ressources disponibles sur ces sujets...
Le chat est la prochaine frontière de l'intelligence artificielle. Grâce à l'apprentissage profond, les ordinateurs peuvent "comprendre" ce que vous dites et y répondre d'une manière qui les fait presque paraître humains. C'est la prochaine étape de l'interaction homme-machine : nous n'aurons plus besoin de taper de longs messages ou de cliquer dans des menus sur un écran, mais nous pouvons simplement parler à nos téléphones et leur faire comprendre ce que nous disons.
Il n'est donc pas surprenant que Microsoft ait décidé que cette technologie serait son principal centre d'intérêt à l'avenir : les chatbots sont l'avenir de l'interaction entre ordinateurs, et Microsoft veut être à l'avant-garde.
La raison pour laquelle nous devons investir dans le Chat GPT est qu'il nous aidera à mieux comprendre le monde.
Il nous aidera à mieux nous comprendre nous-mêmes.
Il nous aidera à mieux comprendre les gens qui nous entourent.
Il nous aidera à mieux comprendre les problèmes du monde.
Nous ne savons pas ce que l'avenir nous réserve, mais nous pouvons être sûrs qu'il sera intéressant. Nous ne savons pas à quoi ressemblera le monde dans 10 ans, mais nous pouvons être sûrs qu'il sera différent.
Il est clair que Microsoft investit dans le chat GPT parce qu'elle veut comprendre comment nous interagissons avec les ordinateurs. Cette technologie est encore très récente et relativement peu testée, mais ses implications potentielles sont énormes. Si le GPT Chat se répand et devient le moyen dominant de communiquer avec nos appareils, cela signifie que nous nous dirigeons vers un avenir où nos interactions avec la technologie deviendront beaucoup plus naturelles qu'aujourd'hui.
Qui sait, peut-être cela signifiera-t-il qu'un jour vous pourrez parler à votre ordinateur comme vous parleriez à une autre personne ?
Microsoft investit 10 milliards de dollars dans GPT Chat(open ai) parce qu'elle veut comprendre comment nous interagissons avec les ordinateurs. C'est la prochaine frontière de l'intelligence artificielle, et c'est aussi un moyen pour nous, les humains, de mieux comprendre notre monde. Qui sait ? Peut-être qu'un jour, nous aurons des ordinateurs qui écouteront et répondront. Notre Agence Web et SEO accompagne les entreprises dans le monde de demain pour anticiper les changements. Contactez-nous pour parler de vos projets.